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Description

[ English and french version inclued ] [ RP cession with about Kaga and Jacke backstory. Kaga is only 5, Jacke is 22 ]
You can read the part one here
Vous pouvez lire la première partie ici

About the pic itself : HEAVY photo refs for the animal parts OF COURSE !!! XD

Done for the group

ENGLISH VERSION

To be perfectly honest, he had expected the dogs. An isolated farm like this one had need of a few sentinels to repel would-be intruders. Humans had a weakness for theses great docile fangs and their dissuasive skills.

However, as the cold season approached, a few pieces of cloth, wool or even fur would quickly become necessary to put something between the elements and their bare skin. Although it was perilous, their fight for survival still led to a game of hide and seek with two or three hounds.

But not a pack!

How could he disperse the horde? He felt in the pressure of their barking, a rumbling hunger that would leave no room for hesitation. The beasts would rather chew their prey rather than wait for a possible order from their masters. One of these monsters had already buried most of his muzzle in the hole where Caillou had slipped into during the panic.

The intensity with which the immense jaw was still pressing in regular assaults against the ground was the only sign that it had not yet reached the boy.

But it would not last, the beast now used its claws to widen the mouth of the hole.

Why…. Why did this bird brain follow him? And especially why didn't he realize it before!

He had to move away to lose the two he had on his tail but he couldn't bring himself to leave the bird behind. He would never have time. If he were to get lost the two canids farther to the stream, the time he would return his kid would already be the prey of their murderous jaws.

His blood froze.

So it wasn't time to run anymore.

Well.

The expression on his face changed as he crouched abruptly on the ground. While his first assailant, carried away by his impulse and entangled his immense legs, passed him furiously the hare grabbed his blade and leapt on the mouth of the second, writing a cruel scarlet line of truffle to the arcades. Then he stood firmly on the long muzzle to jump higher and farther and get closer to the colossus who scratched the ground with greed.

On his way, another dog whose attention had been attracted by the yelping of his brothers had just spotted the hare. His hunting instinct and his hunger increased his strength tenfold and he displayed all his power to go towards the beeguh.
His enthusiasm was significantly shaken when he realized that... the prey was loading it. The canid had hardly time to slow down when the hare jumped, its powerful hind legs forward to propel its weight and its impetus on the dog’s nose. The animal squealed. Jacke fell to the ground and took advantage of the surprise to resume his race to his target without allowing time for the predators to react.

He stopped short.

An immense human figure stood just near the hole where Caillou was hidden.

---------------------------------

The damn wild dogs had been breeding again- though not by his hand. Those unfit had been removed of their ability to continue their line but that didn’t mean that his distant neighbors had been nearly as responsible. He recognized two of the hounds- and they seemed to recognize him. They shied, eyeing him with tense bodies and their hackles raised up off their backs. The man produced a blade from his side and bent down to pluck a good sized stick from the ground. The display was enough to drive off his former projects, leaving four to deal with. Four mongrels- one now howling in agony as it whined and pawed at its wound.

A hare had done that?

He frowned. No- the dogs would have made quick work of a hare by then. He’d removed plenty remains from his property in the past. Whatever it was, it was moving quicker, with more purpose, and in a rare moment where the creature had slowed, it betrayed its true self.

The scientist balked, his mouth parting. It… had a man’s torso. Hands, a chest, a face, eyes, nose- all of it. A man’s body had sprouted out of where the hare’s neck should have been. A sizable crack formed in the foundations of the world he knew, the knowledge he had wrapped himself in. He had heard of such things…but never observed them for himself.

Resolved, he lifted his stick and sent a wild blow to the head of one of the dogs, dropping the animal instantly. It was panting, its eyes wide, and it shifted slightly but it was dazed. The three others rounded on him, snarling at the intrusion, but froze as the man lifted the branch again. The hound that had been digging abandoned its quest for the moment, lifting its head with bits of dirt dropping from its drool-rimmed mouth and nose.

“HAH!” He lunged at the animals, spooking them enough to get them to scatter a few paces back. Damn- they weren’t domesticated enough to take a hint. He swung again, nearly clipping one of the other beasts.

“Whatever you are- get behind me.” The man ordered, his voice allowing no argument.

VERSION FRANCAISE

Pour être parfaitement honnête il s’était attendu aux chiens. Une ferme isolée comme celle-ci avait forcément quelques sentinelles pour repousser les intrus et les hommes avaient un faible pour les grandes canines dociles et leurs compétences dissuasives.

Cependant, à l’approche de la saison froide, quelques pièces de tissu, de laine ou même de fourrures deviendraient rapidement nécessaires à leurs peaux nues. Bien que ce soit périlleux, leur survie méritait quand même une partie de cache-cache avec deux ou trois molosses.

Mais pas une meute !

Comment pourrait-il disperser la horde ? Il sentait dans la pression de leurs aboiements une faim grondante qui ne laisserait aucune place à l’hésitation. Les bêtes préféreraient largement croquer leur proie plutôt que d’attendre une éventuelle consigne de leurs maîtres. Un de ces monstres avait déjà enfoncé la presque totalité de son museau dans le trou où Caillou s’était glissé pendant la panique. L’intensité avec laquelle l’immense gueule se pressait encore en assauts réguliers contre la terre était le seul signe qu’il ne l’avait pas encore atteint.
Mais ça ne durerait pas, la bête utilisait maintenant ses griffes pour réduire l’écart.

Pourquoi…. Pourquoi ce crane de piaf l’avait-il suivi ? Et surtout pourquoi ne s’en était-il pas rendu compte avant !!!

Il devait s’éloigner pour semer ne serait-ce que les deux qui lui collaient le train mais il ne pouvait se résoudre à laisser l’oiseau en arrière. Il n’aurait jamais le temps. S’il partait perdre les deux canidés plus loin vers le ruisseau, le temps qu’il revienne son petit aurait déjà été la proie de leurs mâchoires meurtrières. Son sang se glaça.

Donc l’heure n’était plus à la fuite.

Bien.

L’expression sur son visage changea alors qu’il se tapit brusquement au sol. Pendant que son premier assaillant, emporté par son élan et emmêlant ses immenses pattes, le dépassait en jappant de rage, le lièvre se saisit de sa lame et bondit sur la gueule du second inscrivant une cruelle ligne écarlate de la truffe aux arcades. Puis il prit solidement appuis sur son crâne pour bondir plus haut et plus loin et se rapprocher du colosse qui grattait le sol avec avidité.

Sur sa trajectoire, un autre chien dont l’attention avait été attirée par les jappements de ses frères venait de repérer le lièvre. Son instinct de chasseur et sa faim décuplaient ses forces et il déploya toute sa puissance pour foncer vers le beeguh.
Son enthousiasme fut sensiblement ébranlé quand il comprit que sa proie… était en train de le charger. Le canidé eut à peine le temps de ralentir quand le lièvre bondit, ses puissantes pattes vers l’avant pour propulser tout son poids et sa vitesse de pointe sur le museau du molosse. L’animal couina, sonné. Jacke retomba au sol et profita de la surprise pour reprendre sa course vers sa cible sans laisser le temps aux prédateurs de réagir.

Il stoppa net.

Une immense silhouette humaine se tenait à hauteur du trou où Caillou était caché.
------------------------------------------------

Ces maudits chiens sauvages s’étaient à nouveau reproduis- Pas de sa main cette fois. Ceux qui ne convenaient pas à ses études avaient été privés de leurs capacités à se multiplier, mais ça ne signifiait pas que les fermiers du voisinage avaient fait preuve des mêmes précautions. Il reconnut deux des chiens- et ils semblèrent le reconnaitre également. Ils le scrutaient, les muscles tendus sous leur peau et leurs poils hérissés. L'homme sortit une lame, se pencha et s’en servit pour arracher un bâton de bonne taille du sol. Le tableau était suffisant pour chasser ses anciens sujets, en laissant maintenant quatre dans l’équation. Quatre bâtards, l'un hurlant d'agonie, gémissant et cachant sa blessure sous ses pattes.

Un lièvre avait fait ça?

Il fronça les sourcils. Non, les chiens en auraient vite fini d’un lièvre. Il avait l’habitude d’en retirer les nombreux restes sur sa propriété. Quoi que ce soit, ça se déplaçait plus vite, avec plus de détermination, et dans un rare moment où la créature avait ralenti, elle trahit sa vraie nature.
Le scientifique doutait, restant bouche bée. Ça ... avait le torse d'un homme. Des mains, un buste, un visage, des yeux, un nez, tout. Le corps d'un homme avait germé où le cou du lièvre aurait dû être. Une fissure considérable s'était ouverte dans les fondations du monde qu'il connaissait, la connaissance dans laquelle il s'était enveloppé. Il avait entendu parler de telles choses ... Mais ne les avait jamais observées de lui-même.
Déterminé, il souleva son bâton et frappa un coup sauvage à la tête de l'un des chiens, faisant tomber l'animal sur le coup. Il haletait, les yeux écarquillés, il bougeait légèrement mais il était étourdi. Les trois autres l'entourèrent, grondant à l'intrusion, mais se figèrent quand l'homme souleva de nouveau la branche. Le chien qui avait creusé le sol abandonna sa quête pour le moment, soulevant sa tête d’où se décrochait des mottes de terre ainsi que sa gueule dégoulinante de bave.

"HAH!" Il se jeta sur les animaux, les effrayant juste assez pour les faire s'éloigner de quelques pas. Bon sang, ils n'étaient pas assez domestiqués pour réagir à ses postures. Il balança à nouveau le bâton, blessant presque l'une des autres bêtes.

"Quoi que vous soyez, passez derrière moi." Ordonna l'homme, sa voix ne permettant aucun argument.

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[ English and french version inclued ] [ RP cession with about Kaga and Jacke backstory. Kaga is only 5, Jacke is 22 ]
You can read the part one here
Vous pouvez lire la première partie ici

About the pic itself : HEAVY photo refs for the animal parts OF COURSE !!! XD

Done for the group

ENGLISH VERSION

To be perfectly honest, he had expected the dogs. An isolated farm like this one had need of a few sentinels to repel would-be intruders. Humans had a weakness for theses great docile fangs and their dissuasive skills.

However, as the cold season approached, a few pieces of cloth, wool or even fur would quickly become necessary to put something between the elements and their bare skin. Although it was perilous, their fight for survival still led to a game of hide and seek with two or three hounds.

But not a pack!

How could he disperse the horde? He felt in the pressure of their barking, a rumbling hunger that would leave no room for hesitation. The beasts would rather chew their prey rather than wait for a possible order from their masters. One of these monsters had already buried most of his muzzle in the hole where Caillou had slipped into during the panic.

The intensity with which the immense jaw was still pressing in regular assaults against the ground was the only sign that it had not yet reached the boy.

But it would not last, the beast now used its claws to widen the mouth of the hole.

Why…. Why did this bird brain follow him? And especially why didn't he realize it before!

He had to move away to lose the two he had on his tail but he couldn't bring himself to leave the bird behind. He would never have time. If he were to get lost the two canids farther to the stream, the time he would return his kid would already be the prey of their murderous jaws.

His blood froze.

So it wasn't time to run anymore.

Well.

The expression on his face changed as he crouched abruptly on the ground. While his first assailant, carried away by his impulse and entangled his immense legs, passed him furiously the hare grabbed his blade and leapt on the mouth of the second, writing a cruel scarlet line of truffle to the arcades. Then he stood firmly on the long muzzle to jump higher and farther and get closer to the colossus who scratched the ground with greed.

On his way, another dog whose attention had been attracted by the yelping of his brothers had just spotted the hare. His hunting instinct and his hunger increased his strength tenfold and he displayed all his power to go towards the beeguh.
His enthusiasm was significantly shaken when he realized that... the prey was loading it. The canid had hardly time to slow down when the hare jumped, its powerful hind legs forward to propel its weight and its impetus on the dog’s nose. The animal squealed. Jacke fell to the ground and took advantage of the surprise to resume his race to his target without allowing time for the predators to react.

He stopped short.

An immense human figure stood just near the hole where Caillou was hidden.

---------------------------------

The damn wild dogs had been breeding again- though not by his hand. Those unfit had been removed of their ability to continue their line but that didn’t mean that his distant neighbors had been nearly as responsible. He recognized two of the hounds- and they seemed to recognize him. They shied, eyeing him with tense bodies and their hackles raised up off their backs. The man produced a blade from his side and bent down to pluck a good sized stick from the ground. The display was enough to drive off his former projects, leaving four to deal with. Four mongrels- one now howling in agony as it whined and pawed at its wound.

A hare had done that?

He frowned. No- the dogs would have made quick work of a hare by then. He’d removed plenty remains from his property in the past. Whatever it was, it was moving quicker, with more purpose, and in a rare moment where the creature had slowed, it betrayed its true self.

The scientist balked, his mouth parting. It… had a man’s torso. Hands, a chest, a face, eyes, nose- all of it. A man’s body had sprouted out of where the hare’s neck should have been. A sizable crack formed in the foundations of the world he knew, the knowledge he had wrapped himself in. He had heard of such things…but never observed them for himself.

Resolved, he lifted his stick and sent a wild blow to the head of one of the dogs, dropping the animal instantly. It was panting, its eyes wide, and it shifted slightly but it was dazed. The three others rounded on him, snarling at the intrusion, but froze as the man lifted the branch again. The hound that had been digging abandoned its quest for the moment, lifting its head with bits of dirt dropping from its drool-rimmed mouth and nose.

“HAH!” He lunged at the animals, spooking them enough to get them to scatter a few paces back. Damn- they weren’t domesticated enough to take a hint. He swung again, nearly clipping one of the other beasts.

“Whatever you are- get behind me.” The man ordered, his voice allowing no argument.

VERSION FRANCAISE

Pour être parfaitement honnête il s’était attendu aux chiens. Une ferme isolée comme celle-ci avait forcément quelques sentinelles pour repousser les intrus et les hommes avaient un faible pour les grandes canines dociles et leurs compétences dissuasives.

Cependant, à l’approche de la saison froide, quelques pièces de tissu, de laine ou même de fourrures deviendraient rapidement nécessaires à leurs peaux nues. Bien que ce soit périlleux, leur survie méritait quand même une partie de cache-cache avec deux ou trois molosses.

Mais pas une meute !

Comment pourrait-il disperser la horde ? Il sentait dans la pression de leurs aboiements une faim grondante qui ne laisserait aucune place à l’hésitation. Les bêtes préféreraient largement croquer leur proie plutôt que d’attendre une éventuelle consigne de leurs maîtres. Un de ces monstres avait déjà enfoncé la presque totalité de son museau dans le trou où Caillou s’était glissé pendant la panique. L’intensité avec laquelle l’immense gueule se pressait encore en assauts réguliers contre la terre était le seul signe qu’il ne l’avait pas encore atteint.
Mais ça ne durerait pas, la bête utilisait maintenant ses griffes pour réduire l’écart.

Pourquoi…. Pourquoi ce crane de piaf l’avait-il suivi ? Et surtout pourquoi ne s’en était-il pas rendu compte avant !!!

Il devait s’éloigner pour semer ne serait-ce que les deux qui lui collaient le train mais il ne pouvait se résoudre à laisser l’oiseau en arrière. Il n’aurait jamais le temps. S’il partait perdre les deux canidés plus loin vers le ruisseau, le temps qu’il revienne son petit aurait déjà été la proie de leurs mâchoires meurtrières. Son sang se glaça.

Donc l’heure n’était plus à la fuite.

Bien.

L’expression sur son visage changea alors qu’il se tapit brusquement au sol. Pendant que son premier assaillant, emporté par son élan et emmêlant ses immenses pattes, le dépassait en jappant de rage, le lièvre se saisit de sa lame et bondit sur la gueule du second inscrivant une cruelle ligne écarlate de la truffe aux arcades. Puis il prit solidement appuis sur son crâne pour bondir plus haut et plus loin et se rapprocher du colosse qui grattait le sol avec avidité.

Sur sa trajectoire, un autre chien dont l’attention avait été attirée par les jappements de ses frères venait de repérer le lièvre. Son instinct de chasseur et sa faim décuplaient ses forces et il déploya toute sa puissance pour foncer vers le beeguh.
Son enthousiasme fut sensiblement ébranlé quand il comprit que sa proie… était en train de le charger. Le canidé eut à peine le temps de ralentir quand le lièvre bondit, ses puissantes pattes vers l’avant pour propulser tout son poids et sa vitesse de pointe sur le museau du molosse. L’animal couina, sonné. Jacke retomba au sol et profita de la surprise pour reprendre sa course vers sa cible sans laisser le temps aux prédateurs de réagir.

Il stoppa net.

Une immense silhouette humaine se tenait à hauteur du trou où Caillou était caché.
------------------------------------------------

Ces maudits chiens sauvages s’étaient à nouveau reproduis- Pas de sa main cette fois. Ceux qui ne convenaient pas à ses études avaient été privés de leurs capacités à se multiplier, mais ça ne signifiait pas que les fermiers du voisinage avaient fait preuve des mêmes précautions. Il reconnut deux des chiens- et ils semblèrent le reconnaitre également. Ils le scrutaient, les muscles tendus sous leur peau et leurs poils hérissés. L'homme sortit une lame, se pencha et s’en servit pour arracher un bâton de bonne taille du sol. Le tableau était suffisant pour chasser ses anciens sujets, en laissant maintenant quatre dans l’équation. Quatre bâtards, l'un hurlant d'agonie, gémissant et cachant sa blessure sous ses pattes.

Un lièvre avait fait ça?

Il fronça les sourcils. Non, les chiens en auraient vite fini d’un lièvre. Il avait l’habitude d’en retirer les nombreux restes sur sa propriété. Quoi que ce soit, ça se déplaçait plus vite, avec plus de détermination, et dans un rare moment où la créature avait ralenti, elle trahit sa vraie nature.
Le scientifique doutait, restant bouche bée. Ça ... avait le torse d'un homme. Des mains, un buste, un visage, des yeux, un nez, tout. Le corps d'un homme avait germé où le cou du lièvre aurait dû être. Une fissure considérable s'était ouverte dans les fondations du monde qu'il connaissait, la connaissance dans laquelle il s'était enveloppé. Il avait entendu parler de telles choses ... Mais ne les avait jamais observées de lui-même.
Déterminé, il souleva son bâton et frappa un coup sauvage à la tête de l'un des chiens, faisant tomber l'animal sur le coup. Il haletait, les yeux écarquillés, il bougeait légèrement mais il était étourdi. Les trois autres l'entourèrent, grondant à l'intrusion, mais se figèrent quand l'homme souleva de nouveau la branche. Le chien qui avait creusé le sol abandonna sa quête pour le moment, soulevant sa tête d’où se décrochait des mottes de terre ainsi que sa gueule dégoulinante de bave.

"HAH!" Il se jeta sur les animaux, les effrayant juste assez pour les faire s'éloigner de quelques pas. Bon sang, ils n'étaient pas assez domestiqués pour réagir à ses postures. Il balança à nouveau le bâton, blessant presque l'une des autres bêtes.

"Quoi que vous soyez, passez derrière moi." Ordonna l'homme, sa voix ne permettant aucun argument.