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Published: 2015-12-06 11:59:12 +0000 UTC; Views: 2369; Favourites: 18; Downloads: 2
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Description
i just put that sketchysketch so no one could ever see the old drawing lol
Ce personnage est inspiré de Jacques Collin, personnage d'Honoré de Balzac (keurkeur), et notamment des livres Le Père Goriot et Splendeur et Misères Courtisannes (qui sont trop cools), lui même inspiré de la vraie vie de François Vidocq.
J'ai essayé de faire quelque chose de cohérent historiquement parlant, parce que j'adore vraiment cette dimension historique du RP et cette période de l'histoire. Ainsi, j'en ai peut être trop fait.
Désolée.
Voilà.
Bonne Lecture.
Keur sur vous.
<3
Koe'
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Raoul : "Dieu et Satan se sont entendu pour fondre ce bronze là !"
Vautrin : " C'est possible."
Prénom : Jacques.
Nom : Collin.
Alias : William Barker , Lieb Uhlenbeck (actuels), Vautrin, M. de Saint-Esève, Carlos don Herrera, monsieur Vieux-Chêne, Fenella Smith.
Surnom : "Trompe-La-Mort" (En français), Le Dab, "The French Jack".
Âge : 41 ans. (2017)
Naissance : 24 Juillet.
Taille : ~1m95.
Poids : ~95 kg
Sexe : Homme.
Orientation sexuelle : Peu importe.
Logement : 27 Dorset Street, dans le quartier de Spitafields, dans l'East End.
Dorset Street est une rue courte et étroite de 400 pieds de long pour 24 pied de large. Elle est occupée par les maisons d'hébergement, considérés plus comme des taudis, où logent environ 1200 personnes chaque nuits, dont de nombreux immigrants. Elle serait contrôlée par Jack Mc Carthy et William Crossingham, supposés d'être impliqués dans des affaires de rackets et de proxénétisme. On y trouve une épicerie tenue par un certain Barnnet Price, au numéro 7, et un pub au numéro 32, Blue Coat Boy, dirigé par William James Turner. Au coin de Dorset et de Commercial Street est situé le pub Britannia.
Malédiction / espèce : Λυκάνθρωπος ομοφυλοφιλία // Homosexualis Lycanthropus // melancholia canina
Traits physiques particuliers :
- Tatouage sur le bras gauche, les lettres " T H E " étant imprimés respectivement sur l'auriculaire, l'annulaire et le majeur. Partant du dos de sa main jusqu'à son épaule (donc visiblement a l'envers), est imprimé " F R E N C H J A C K ".
- Il est aussi marqué au fer sur l’omoplate droite les lettres " T.F".
- A part ses sourcils, sa barbe et ses cheveux, ses poils sont roux-rouges, indiquant une potentielle teinture.
- Son regard met mal a l'aise. Il semble percer celui de la personne qu'il regarde et lire en lui.
Caractère :
- [REBELLE] Jacques est un homme rebelle : Il a sa propre vision du monde, pense avoir compris la société, ses rouages et ses tabous, et veut se battre contre elle.
- [PROCURATION] Mais il évitera toujours de le faire personnellement. Il préférait se battre a travers la réussite d'un élève, et a donc tendance a avoir du bonheur presque uniquement par procuration.
- [CALCULATEUR] Il est aussi extrêmement intelligent, calculateur et manipulateur : il n'aura aucun répit contre ceux qui ne sont pas considérés comme ses alliés, s'il peut arriver a ses fins. Et il y arrivera souvent.
- [L'HONNEUR] Pour lui, l’honnêteté de sert a rien, et le fait de suivre les règles" établie et une entorse a l'honneur. Et l'honneur, il en a un a toute épreuve, que même ses ennemis connaissent.
- [CHARISMATIQUE] A première vue, il semble très sympathique et rassurant, de par sa corpulence, son positivisme et sa familiarité. Il est naturellement plutôt autoritaire. Il émet un charisme certain.
- [CULTIVE] Il est loin d'être une simple brute, il est très cultivé, connait beaucoup de choses et aime l'art et l’esthétique. Il se voit d'ailleurs comme un artiste.
- [/SANG CHAUD] Il opère toujours avec calme et semble toujours sûr de lui, même lorsqu'il provoque où se trouve dans une situation délicate. Il a travaillé pendant des années afin de contenir son sang chaud.
- [MISOGYNE] Même s'il évite de l'afficher, Jacques Collin trouve que les femmes sont des vipères manipulatrices faites pour mener les hommes a leur perte.
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Histoire :
Qui a dit que la France n’avait aucun nom badass ? Eh bien il se trompe.
Il est l’histoire d’un homme, français, qui courait sur quelques lèvres renseignées. Trompe-La-Mort.
Ou plutôt Jacques Collin, pour les intimes.
Apres l’avoir mis au monde, sa mère l’a abandonné très tôt, se fichant apparemment de savoir ce qu’il adviendrait de son fils par le futur. Il ne se souvenait plus vraiment de son nom. Honorée quelque chose. Cela importait peu, de toute façon. Il avait grandi auprès d’un homme, François Vidocq : Un grand rouquin policier a Paris aux méthodes peu orthodoxes mais efficaces. Il ignorait s’il était son père, et ne se posait de toute façon pas la question.
Il put faire des études de qualité à la capitale, dans un collège d’oratoriens. Ce qu’il apprit de la vie ne lui plut pas : Le contrat social, la stigmatisation, les manigances, la corruption.
Mais ces années de vie « normale » pour un jeune homme de son âge l’aidèrent certainement par la suite. Connait bien ton ennemi. Comme on dit.
- Vautrin :
Les cloches les plus proches sonnaient à présent six heures du matin dans les rues de Paris.
Il détestait quand ça arrivait.
Le soleil était maintenant en mesure d’éclairer les premiers marchands et lève-tôt s’installants, ou simplement traversant la voie publique.
Il avait mis trop de temps.
Un poissonnier suait à poser ses étalages devant sa boutique. Une jeune fille de bourgeois blonde à la robe en dentelles douces découvrait de ses yeux naïfs un étalage de tomates. Un couple, sourire aux lèvres, sortait d’une auberge de jeunesse en faisant signe à leur hôte à travers la vitrine. Un étudiant courrait, probablement faute d’avoir trouvé un conducteur pour se rendre en cours. Un clochard rassemblait ses bouteilles partiellement vides de la veille, dans l’ombre d’une épicerie.
C’était juste.
Il faisait plutôt bon pour un matin d’avril.
Adossé à un mur, caché dans une bâtisse abandonnée dans un coin de rue, Vautrin fixait un rayon de soleil insolent chauffant son bras. Son avant-bras droit, couvert de sang.
Le sien ? Non. Et c’était bel et bien le souci.
Il détestait vraiment quand ça arrivait.
Ça faisait déjà deux ans qu’il se faisait appeler monsieur Vautrin. Le sang sur son bras, c’était celui d’un jeune homme. Taillefer. Pas un jeune homme intéressant, juste le fils favoris d’un milliardaire. Il l’avait tué afin que la sœur, qui s’était éprise de Rastignac, puisse récupérer l’héritage.
Rastignac serait ainsi heureux.
C’est tout ce qu’il avait voulu depuis qu’il avait rencontré le jeune dandy a la pension Vauquer ou il logeait, rue Neuve-Sainte-Geneviève. Il n’avait pas voulu se salir les mains. Oh ce n’est pas un problème d’honneur, il l’avait ainsi affronté en secret, avant le lever du soleil, en duel tout à fait honnête.
Ça aurait dû être à Rastignac de le faire. Mais le petit s’était désisté. Il avait pris peur. Il n’était pas prêt.
Vautrin avait toujours eut le sentiment d’être quelqu’un de violent, a l’intérieur. Tuer, il détestait le faire.
Parce que c’était sale, déjà. Et aussi parce que le trentenaire ne se sentait plus lui-même dans ces moment-là.
Mais ça, il se le cacherait toujours à lui-même.
- Le Dab :
Satané Bibi-Lupin.
Le Chef de la police. Son ennemi naturel. Lui qui l’avait déjà envoyé au bagne de Toulon. Il avait réussi à retrouver sa piste, même ainsi caché. Trompe-La-Mort avait dû quitter brusquement Rastignac, sans explications. Le dernier regard plein de haine de ce dernier hantait ses esprits. Il avait échoué. Il espérait qu’il réussisse seul.
Il était à présent de retour dans le bagne, cette fois celui de Rochefort. Ça n’était pas très grave. Des gouttes d’eau raisonnaient dans le couloir. La cellule, séparée des autres, était éclairé par les reflets d’une flamme plus loin sur les pierres froides. Son impressionnante silhouette était posée sur un banc en bois, assis, fixant le mur face à lui. Si un surveillant ouvrait la porte, il serait pétrifié par son regard.
Il en était à combien déjà ? Ah, oui ! Vingt ans. Vingt ans de bagne. En réalité, il n’aurait dû pourrir ici que cinq ans, mais le reste résultait de ses évasions. C’est une vieille histoire. Il y a de ça quelques années, Trompe-la-mort avait rencontré un jeune homme : Théodore. Le jeune corse était violent, et déboussolé. Lui non plus, il n’avait pas réussi à l’aider. Théodore, la madeleine, avait réussi à tuer un homme.
Bravo. Et c’est qui qui a dû se faire porter le chapeau ? C’est papa Trompe-La-Mort.
Mais il s’en était évidemment sorti. Trompe-la-Mort, c’est l’homme qui échappe toujours à la peine de mort. Toujours. Il s’était construit une solide réputation depuis quelques années. Le Dab. Le chef. Le Chef des bagnes français et des brigands. Le Chef du clan des Dix Mille. Dix mille frères et sœurs plaçant une confiance absolue en leur cher Dab. Il était devenu la « banque » de ces bandits. Il récupérait leurs trésors avant la police quand ils se faisaient choper, pour qu’ils ne soient pas saisit. Il pouvait toujours compter sur eux pour s’évader.
Ils seraient prêts à tout pour récupérer leur Dab.
C’est qu’une formalité.
- Carlos Don Herrera :
Esther, la Torpille, cette salope.
On ne lui avait pourtant pas demandé grand-chose. Il suffisait simplement de rester auprès du Baron de Nucingen et de lui faire cracher son fric. L’abbé Carlos don Herrera pensait pourtant qu’elle avait compris à quel point Lucien était important. Il l’avait pourtant bien assez convaincue que sa souffrance était nécessaire. Tout ce qui importait c’était Lucien.
Peut-être va-t-on un peu vite.
Carlos Don Herrera, c’était l’homme en lequel il avait décidé de se travestir après avoir fui une nouvelle fois un bagne. Un abbé espagnol inconnu de tous. Il était l’homme parfait. En bon professionnel, il avait, encore une fois, sût jouer son personnage jusqu’au bout.
Il avait fait la connaissance de Lucien de Rubempré. Un jeune homme (oui, encore un !), un poète, un provincial, aux ambitions littéraires. Peu sûr de lui, déprimé, il était devenu sa chose. Don Herrera avait sauvé sa vie en l’empêchant de mettre fin à ses jours, son âme était maintenant entièrement tournée vers lui.
Et il allait réussir cette fois-là.
Tout était parfait.
Il l’avait fait monter à Paris, et, en peu de temps, grâce à son mentor, Lucien était devenu un journaliste à la mode. Il allait dans les salons, était reconnu. Puis survint Esther. Esther la courtisane. Esther la prostituée. Cette fille se parant de fausse innocence, cette fille de bas étages. Elle ne rêvait que d’être digne de Lucien.
Et c’était réciproque.
Soit. Carlos Don Herrera accepta.
A l’aide de stratagèmes dont il est maître, il réussit à rendre Esther accessible à Lucien tout en la cachant, pour ne pas tâcher l’honneur de son protégé.
Mais pour ses ambitions, Lucien avait besoin d’argent. Et cette maudite Esther allait enfin être utile.
Elle était prête à faire la seule chose qu’elle savait faire, nom de dieu : charmer les hommes.
Même si ça lui crevait le cœur, il reconnaissait ce talent, même lui, oh, lui, Jacques Collin, elle avait réussi à l’émouvoir avec ses grands yeux et ses doigts frêles.
Elle aurait dû continuer à pomper l’argent du Baron. Elle s’était suicidée.
Et maintenant soupçonnés, ils s’étaient retrouvés enfermés dans les geôles de Paris.
Ils ? Oui, lui. Lui, mais aussi le petit. Lucien. Il était trop faible, il ne supporterait pas la pression. Il allait tout balancer. Carlos don Herrera allait devenir Trompe-La-Mort pour tout le monde.
Le Dab devait les sortir de là. Quel que soit le prix.
Hn, mais était-il encore le Dab de quelqu’un ? Les fortunes que tous les plus grands brigands de France lui confiaient, il les avait toutes données à Lucien.
Evidemment, il doutait que cela se soit déjà répandu. Il y avait encore une chance de paraître légitime auprès des emprisonnés.
Il avait des contacts dehors : Asie, sa tante de sang, ou la seule femme digne de confiance, ou Paccard, son bras droit, en qui il avait aussi entièrement confiance. Et même s’il était parti avec cette femme inutile dont il avait oublié le nom… Il n’abandonnerait pas le Dab.
Il reviendrait forcement. Ils allaient s'en sortir. Ils materont la société a son propre jeu.
Et Lucien sera heureux.
- Jacques Collin :
« J’ai tué Lucien. »
Cette phrase raisonnait dans la tête de Jacques.
Il… Il ne comprenait pas. Face à lui, le corps de son aimé, son fils, son protégé, son ange son… Il était salit.
Seul son visage de porcelaine était intact, entouré de ses cheveux de jais.
Dans un coin de la pièce, le cadavre gisait.
Jacques restait immobile. Choqué. Il ne voulut pas regarder ses mains, et sa tunique de prêtre, tâchée de rouge. Il refusait ce qui venait de se passer.
Non. Ca ne pouvait pas être arrivé. Mais… Qu’est-ce qui était arrivé au juste ? Il ne se souvenait plus. Il ne savait plus. Cette rage en lui. Il tremblait. Son plan était parfait. Que s’était-il passé... ? A quel moment il avait…
Bibi-Lupin.
Il avait été appelé en témoin. Il l’avait reconnu. Les choses avaient dégénérées.
Bibi l’avait… Mordu ? Puis… Ses souvenirs sombrent dans la brume. Une brume rouge. Nerveuse. Sanglante. Violente. Il avait faim. Il rêvait de déguster un met. Un met précis.
Celui qu’il regardait grandir depuis des années.
Le cœur de Lucien, dans son estomac, ne battait déjà plus depuis longtemps.
- William Barker :
Cela fait maintenant presque une quarantaine d’années que l’homme roulait sa bosse.
Ce n’était plus possible.
Il avait dû s’éloigner de la France. Il n’avait plus d’amis. Il n’a jamais su si Paccard était revenu le chercher.
Mais la police, les bandits, les amis de Lucien... Tous savaient que c’était lui. Il ne pouvait pas rester en France. Dans sa tête, même le plus petit des patelins lui en voulait. Rien que quelques mots alignés dans un langage un tant soit peu soutenu lui rappelaient Lucien, son petit Lucien, son poète.
Il était parti. En Angleterre.
Pas vraiment un choix voulut : Depuis quelques années, Londres était devenue un nid a rat.
A part la bourgeoisie de l’Ouest, tout East End était rempli de misères : Des irlandais fuyant la famine, des chinois profitant de l’opium, et plein d’autres personnes s’entassant comme des sacs vides dans les coins de rues. On n’y vivait pas longtemps.
juste le choix le plus simple, il parlait déjà anglais, et l’une de ses nombreuses identités avait la nationalité.
Dorset Street, dans le quartier de Spitafields.
La rue était étroite, environ 400 pieds de long pour 24 pied de large.
Comme beaucoup de quartiers de l’East End, la majorité des bâtiments étaient des maisons d’hébergement, des taudis, où logeaient plus de 1200 personnes chaque soirs, pas toujours ici légalement. Il avait appris par William James Turner –avec qui il avait sympathisé sans le vouloir, faute que son pseudonyme ait le même prénom que le sien-, le propriétaire d’un pub au numéro 32, le Blue Coat Boy, que la rue était contrôlée par Jack Mc McCarthy et William ("encore un haha !" avait ri le patron) Crossingham, impliqués dans des rackets, proxénétismes et autres joyeuseries de coutumes dans le coin. Jacques avait décidé de ne pas se mêler de ça. Entre deux trois plaintes de son concurrent, le pub Britania, situé à l’angle avec Commercial Street, Turner pouvait être un informateur utile, pour éviter les emmerdes.
Il avait trouvé un appartement relativement correct –pour l’East End, correct, ce n’était pas grand-chose- au numéro 27. Une voisine habitant dans le passage entre son immeuble et le 26, une prostituée, une certaine Mary Jane Kelly, l’avait aidé a son arrivé en allant lui chercher à l’épicerie du numéro 7 de quoi manger pour quelques jours ; C’était gentil. Mais quand elle lui a proposé ses services d’une façon plus personnelle, Jacques s’est conforté dans son dégoût pour la gente féminine. Et c’est avec une grimace qu’il la sortie hors de chez lui. Il ne la croisait plus depuis.
La vie à Londres était moins facile que celle de pensionnaire a Paris, d’abbé, ou même de bagnard.
Sa vie en tant que William Barker était vraiment l’une des pires.
Il parvenait à survivre grâce a Asie, restée en France, qui lui envoyait souvent des nouvelles de sa réputation là-bas –jamais bonnes- et de l’argent. Cette femme était vraiment la seule en qui il pouvait avoir confiance.
Vivre dans ce climat de violence perpétuelle était très difficile.
Depuis qu’il avait… Enfin, depuis l’épisode de Bibi-Lupin, il se contenait vraiment mal face à la vue d’action, de sang.
Le pire c’était pendant la pleine lune.
Un soir il s’était réveillé avec les draps couverts de sang, il était sorti pendant son sommeil. La fois d’après, un bras aux ongles grossièrement verni de rouges et cernés de deux bagues dorées en toc était voisin à son visage au matin. Il comprit le rythme lunaire de ces… « Problèmes ».
Il entreprit de s’attacher à chaque pleine lune. Solidement.
Le matin, les sangles qui le retenaient étaient toujours monstrueusement abimée, et il se dit qu’il en fallait toujours de peu pour qu’elles lâchent et qu'il réussisse à fuir.
Il améliorait son stratagème chaque mois, mais, ce n’était pas bon.
Il était fatigué. Stressé. Malmené par ses pulsions renfermées en lui, chaque jour.
Un soir, alors qu’il rentrait chez lui, après avoir bu un verre au Blue Coat Boy –l’alcool le soulageait toujours- il retrouvait un papier étrange dans sa poche.
Ça valait peut être le coup. Il n’avait plus rien à perdre.
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Raison de rejoindre le Oblitus-club :
Il n'a plus rien a perdre, tout ce qui le dérange, c'est ses... "Problèmes lunaires". Il aimerait bien trouver un moyen de s'en débarrasser.
Aime :
L'art, les grasse matinées, les personnes de confiance.
N'aime pas :
~Les femmes, les personnes in-intéressantes, les ennemis de ses protégés.
Relations :
OC :
-
PNJ :
François Vidoqc [ ? ] :
Figure paternelle perdue de vue, un policier Parisien l'ayant élevé.
Eugène Rastignac :
Jeune homme paterné par Jacques a l'époque ou il était pensionnaire en tant que Vautrin a la maison Vauquer, il vit toujours a Paris et semble y avoir réussi. Jacques n'y pense plus.
Bibi-Lupin :
Policier, ennemi juré depuis des années de confrontation. Apparemment père Loup-Garrou.
Esther Gobseck [ Décédée ] :
Dit la Torpille. Jeune prostituée s'étant éprise de Lucien, Jacques ne l'apprecie pas au vu de son statut. Il considère que la chute de Lucien est aussi sa faute. Apres son suicide, Asie a découvert qu'elle était une riche héritière de la maison Gobseck. Sa fortune a été distribuée selon le testament de Lucien, qui aurait dû en hériter.
Lucien de Rubempré [Décédé] :
Dernier protégé en date, un poète provençal ayant abandonné son avenir a Jacques Collin. Tout comme Rastignac, et, il semblerait Théodore, Jacques s'était vraiment identifié, et tenait sincèrement a lui et ne voyait plus d'avenir suite a sa mort.
Théodore Calvi :
Jeune Corse, meurtrier pour lequel Jacques s'est porté garant dans le temps.
Asie :
Ou Jacqueline Collin. Tante de sang et fidèle, elle garde contact avec lui quoi qu'il arrive, depuis la France, lui prodiguant vivres, argent, et informations.Elle semble être la seule femme et l'une des seules personnes en qui il ait encore entièrement confiance.
Paccard :
Ancien bras droit, disparu dans la nature. Il lui faisait confiance comme a un fils.
William James Turner :
Propriétaire du pub Blue Coat Boy, voisin du logement de Jacques. Le considère comme un habitué et un ami. Ce qui n'est pas forcement réciproque.
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Musique Theme :
-
Voix :
Anglais
Manière de rp:
- J'rp le plus souvent sur Skype (gothikawaii, hésitez pas, je mords pas : p ),
- ou alors sur ChatBox, ça me pose pas de soucis non plus.
- Pour les RP sans scénario précis je préfère le style de RP instantané ( **, écrit au présent...) qui permet plus de réactivité et de moins tourner en rond.
- Mais je peux aussi RP de façon rédigée, ça me pose pas de problèmes si vous préférez, du moment qu'on garde un certain rythme régulier, ou si y a une trame de scénario précise !
Voilà, merci et GG a vous d'avoir lut jusque là !
Vautrin : Enfant, il y a deux espèces d'hommes qui peuvent tout.
Raoul : Et qui sont ?
Vautrin : Les rois, qui sont ou doivent être au dessus des lois ; et ... tu vas te fâcher ... Les criminels, qui sont au dessous.
Raoul : Et comme tu n'es pas roi ...
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Comments: 23
CrystallMCL [2016-01-16 10:22:34 +0000 UTC]
J'avais même pas commenté ... OAO
Il est la purefection. Ça tu sais déjà hein...
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KoeC0llin In reply to CrystallMCL [2016-01-16 10:52:15 +0000 UTC]
Ouais je sais B)
)BAM
non en vrai c'est pas vrai mais merci de Keur <3 <3
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KoeC0llin In reply to CrystallMCL [2016-01-16 11:40:26 +0000 UTC]
Il est insupportable en plus en ce moment il est dépressif : (
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CrystallMCL In reply to KoeC0llin [2016-01-17 09:52:36 +0000 UTC]
Byo va lui faire un câlin Plénituuuuuude
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KoeC0llin In reply to Ban-shy [2015-12-06 15:34:29 +0000 UTC]
hzqcknjrfcgsdsvd omg je t'aime
<3
marrions nous
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Ban-shy In reply to KoeC0llin [2015-12-10 19:50:38 +0000 UTC]
Moi aussi je t'aime
J'ai hâte qu'on se marie
Luvluvluv <3
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KoeC0llin In reply to Ban-shy [2015-12-10 21:06:32 +0000 UTC]
J'avoue
tu t'appelles Apolline collin maintenant.
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oOMateriaOo [2015-12-06 13:08:57 +0000 UTC]
Un roux mal assumé ! //PAN
Sa fiche est bien QwQ -aime la lecture-
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KoeC0llin In reply to oOMateriaOo [2015-12-06 13:41:59 +0000 UTC]
mais carrement .
Aah merci ! : D
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Ubilo [2015-12-06 12:46:19 +0000 UTC]
J'ai lu "Balzac"...
...J'ai direct adoré le perso (quoi, tu m'prend par les sentiments mazette O3O)
Diantre ce perso est définitivement trop cool !
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KoeC0llin In reply to Ubilo [2015-12-06 12:49:28 +0000 UTC]
BALZAC = MA VIE.
<3 <3 <3 Toi je t'aime bien.
Merci ! J'y ai mis beaucoup de keur.
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