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Description
<3
Scelia est la déesse des Contes et du Théâtre. Née à l'époque des dieux, elle est la fille de Gaya et Riddim.
Dès son plus jeune âge, elle commença à inventer des histoires de fées, d'amour, d'aventure, qu'elle nommait des "Contes".
Il faut savoir que dans sa jeunesse, les dieux découvraient les arts, et elle fut la première à inventer cet art oral. Rapidement, ses histoires eurent du succès, et elle trouva son métier : Conteuse.
En grandissant, elle tomba amoureuse de Ekhlat, le frère du roi. Elle tenta plus d'une fois d'attirer son attention, durant de longues années, en vain. Ekhlat était déjà marié, et fidèle.
De ce chagrin d'amour naquit le tatouage sur son bras : La protection, symbole d'Ekhlat.
Elle continua sa vie, et se maria à un homme du nom de Samez. Elle eut quelques enfants avec lui, et vécut paisiblement.
Chaque année, elle organisait une grande représentation d'un de ses contes. Une pièce de Théâtre, lors de la fête du Solstice. Chaque acteur portait un masque qu'elle fabriquait elle-même.
Une routine s'installa dans sa vie.
Puis elle rencontra Khüd. L'homme était le meilleur ami de son père. Il vivait dans la forêt, en bordure de la cité.
Il était mystérieux. Il ne parlait pas. Ou si, il parlait un langage étrange. Un sifflement. Parfois, il s'exprimait avec ses instruments de musique.. Il n'avait pas de mot. Il était différent.
Elle tomba sous son charme.
Durant des années elle trompa son mari avec Khüd. Personne n'avait connaissance de leur relation. Jusqu'au jour où elle accoucha de son enfant : Arved.
Ils l’élèvent en secret durant quelques années, avant de décider de le confier à Riddim. Khüd rejetait son fils, car il ne leur ressemblait pas : Il n'avait pas de cornes.
Scelia buvait ses paroles, elle était tant amoureuse qu'elle ne se rendait plus compte de l'horreur de ses actes.
Riddim éduqua l'enfant, tandis que Scelia continuait de fréquenter Khüd dans le dos de son époux.
Mais Arved en grandissant, eut loin d'avoir une vie paisible. Il sombra dans la dépression. Il était victime de violences conjugales. Pour finir, il ne supporta pas l'indifférence de ses parents, et fit tout pour les rendre fier... dont s'engager dans les armées du roi, pour les guerres à venir.
Il ne revint jamais. Mort au combat.
A ce moment là, Scelia attendait un nouvel enfant. La mort d'Arved la choqua. Elle se rendit compte de l'horreur qu'elle avait fait subir à son petit... mais bien trop tard. Quelques jours après, elle disparu.
Personne ne la revit, ni elle, ni Khüd.
***
=> Dans la culture Abarianne :
Chez les Abarians, le nom de Scelia est oublié depuis longtemps, mais son symbole perdure. Celui des Contes et du Théatre.
Pendant longtemps, elle fut nommée "la déesse oubliée", car personne ne se souvenait de son histoire.
Ce n'est que très récemment, lorsque le "Journal de l'Âme" fut découvert et traduit, que son nom fut retrouvé.
Mais ce livre n'est pas accessible à tout les Abarians, et peu nombreux sont ceux à l'avoir lu.
Beaucoup doutent également de son authenticité.
Elle reste donc, pour la plupart des Abarians, qu'un symbole sans nom.
=> Dans la culture Sève :
Dans la culture Sève, il existe une ancêtre nommée Elya, qui aurait fait partie des fondateurs du culte et aurait entre-autre été la femme de Khüd, le principal dieu Sève.
Les sèves la considèrent comme leur déesse mère, car on dit que ses descendant furent les premiers Sèves.
Selon la légende, Elya souhaitait que les Sèves puissent parler le même langage qu'elle, celui d'Abar, plutôt que le langage de Khüd ( la langue du Sang ).
Elle voulait que les contes, et l'imagination soient au centre de leur culture.
Mais ses enfants préféraient suivre l'exemple de leur père.
Son fils ainé, Midir, lui cousu les lèvres pour la faire taire. Quand on lui enleva les fils, elle ne prononça plus jamais le moindre mot.
Elle est représentée chez les Sèves avec les lèvres cousues, symbole de son silence.
Peu nombreux sont ceux à faire le parallèle entre Scelia et Elya, mais depuis la découverte du Journal de l'Âme, les théories sont nombreuses.

Description
<3
Scelia est la déesse des Contes et du Théâtre. Née à l'époque des dieux, elle est la fille de Gaya et Riddim.
Dès son plus jeune âge, elle commença à inventer des histoires de fées, d'amour, d'aventure, qu'elle nommait des "Contes".
Il faut savoir que dans sa jeunesse, les dieux découvraient les arts, et elle fut la première à inventer cet art oral. Rapidement, ses histoires eurent du succès, et elle trouva son métier : Conteuse.
En grandissant, elle tomba amoureuse de Ekhlat, le frère du roi. Elle tenta plus d'une fois d'attirer son attention, durant de longues années, en vain. Ekhlat était déjà marié, et fidèle.
De ce chagrin d'amour naquit le tatouage sur son bras : La protection, symbole d'Ekhlat.
Elle continua sa vie, et se maria à un homme du nom de Samez. Elle eut quelques enfants avec lui, et vécut paisiblement.
Chaque année, elle organisait une grande représentation d'un de ses contes. Une pièce de Théâtre, lors de la fête du Solstice. Chaque acteur portait un masque qu'elle fabriquait elle-même.
Une routine s'installa dans sa vie.
Puis elle rencontra Khüd. L'homme était le meilleur ami de son père. Il vivait dans la forêt, en bordure de la cité.
Il était mystérieux. Il ne parlait pas. Ou si, il parlait un langage étrange. Un sifflement. Parfois, il s'exprimait avec ses instruments de musique.. Il n'avait pas de mot. Il était différent.
Elle tomba sous son charme.
Durant des années elle trompa son mari avec Khüd. Personne n'avait connaissance de leur relation. Jusqu'au jour où elle accoucha de son enfant : Arved.
Ils l’élèvent en secret durant quelques années, avant de décider de le confier à Riddim. Khüd rejetait son fils, car il ne leur ressemblait pas : Il n'avait pas de cornes.
Scelia buvait ses paroles, elle était tant amoureuse qu'elle ne se rendait plus compte de l'horreur de ses actes.
Riddim éduqua l'enfant, tandis que Scelia continuait de fréquenter Khüd dans le dos de son époux.
Mais Arved en grandissant, eut loin d'avoir une vie paisible. Il sombra dans la dépression. Il était victime de violences conjugales. Pour finir, il ne supporta pas l'indifférence de ses parents, et fit tout pour les rendre fier... dont s'engager dans les armées du roi, pour les guerres à venir.
Il ne revint jamais. Mort au combat.
A ce moment là, Scelia attendait un nouvel enfant. La mort d'Arved la choqua. Elle se rendit compte de l'horreur qu'elle avait fait subir à son petit... mais bien trop tard. Quelques jours après, elle disparu.
Personne ne la revit, ni elle, ni Khüd.
***
=> Dans la culture Abarianne :
Chez les Abarians, le nom de Scelia est oublié depuis longtemps, mais son symbole perdure. Celui des Contes et du Théatre.
Pendant longtemps, elle fut nommée "la déesse oubliée", car personne ne se souvenait de son histoire.
Ce n'est que très récemment, lorsque le "Journal de l'Âme" fut découvert et traduit, que son nom fut retrouvé.
Mais ce livre n'est pas accessible à tout les Abarians, et peu nombreux sont ceux à l'avoir lu.
Beaucoup doutent également de son authenticité.
Elle reste donc, pour la plupart des Abarians, qu'un symbole sans nom.
=> Dans la culture Sève :
Dans la culture Sève, il existe une ancêtre nommée Elya, qui aurait fait partie des fondateurs du culte et aurait entre-autre été la femme de Khüd, le principal dieu Sève.
Les sèves la considèrent comme leur déesse mère, car on dit que ses descendant furent les premiers Sèves.
Selon la légende, Elya souhaitait que les Sèves puissent parler le même langage qu'elle, celui d'Abar, plutôt que le langage de Khüd ( la langue du Sang ).
Elle voulait que les contes, et l'imagination soient au centre de leur culture.
Mais ses enfants préféraient suivre l'exemple de leur père.
Son fils ainé, Midir, lui cousu les lèvres pour la faire taire. Quand on lui enleva les fils, elle ne prononça plus jamais le moindre mot.
Elle est représentée chez les Sèves avec les lèvres cousues, symbole de son silence.
Peu nombreux sont ceux à faire le parallèle entre Scelia et Elya, mais depuis la découverte du Journal de l'Âme, les théories sont nombreuses.